Sommaire
ILe vocabulaire du souvenirIILa mémoire historiqueALey de Memoria HistóricaBMadres de la Plaza de MayoLe vocabulaire du souvenir
Les mots suivants évoquent le souvenir :
Le souvenir | El recuerdo |
Se souvenir | Acordarse de, recordar |
La mémoire | La memoria |
Mémoriser | Memorizar |
Remémorer | Rememorar |
Mémorable | Memorable |
Rafraîchir la mémoire | Refrescar la memoria |
Raconter | Contar |
Partager | Compartir |
Evoquer | Evocar |
Une histoire | Una historia |
Témoigner | Atestiguar |
Un témoin | Un testigo |
Un témoignage | Un testimonio |
Le passé | El pasado |
L'enfance | La niñez, la infancia |
Un bon souvenir | Un buen recuerdo |
Un mauvais souvenir | Un mal recuerdo |
Un souvenir vague | Un recuerdo borroso |
Un souvenir net, clair | Un recuerdo nítido, claro |
L'oubli | El olvido |
Oublier | Olvidar |
Inoubliable | Inolvidable |
S'effacer | Borrarse |
Mi abuela se acuerda muy bien de su infancia.
Ma grand-mère se souvient très bien de son enfance.
Los mayores suelen compartir sus recuerdos inolvidables.
Les personnes âgées ont l'habitude de partager leurs souvenirs inoubliables.
La mémoire historique
Ley de Memoria Histórica
La "Loi de la Mémoire Historique" (Ley de Memoria Histórica) est une loi espagnole promulguée en décembre 2007. Elle vise à reconnaître les victimes de la Guerre Civile Espagnole (1936 - 1939) et de la dictature du Général Franco (1939 - 1975). Des aides sont apportées à ces victimes, et à leur famille, et les symboles franquistes doivent être retirés des édifices et espaces publics.
La Ley de Memoria Histórica reconoce a las víctimas de la Guerra Civil española y de la dictadura de Franco.
La Loi de Mémoire Historique reconnaît les victimes de la Guerre Civile Espagnole et de la dictature de Franco.
Madres de la Plaza de Mayo
Les "Mères de la Place de Mai" (Madres de la Plaza de Mayo) sont une association de femmes argentines qui effectuent des rondes tous les jeudis sur la Place de Mai (Plaza de Mayo), à Buenos Aires, autour de la pyramide, face au Palais Présidentiel, pour retrouver leurs enfants "disparus" (los "desaparecidos") pendant la dictature militaire du Général Videla (1976 - 1983). Ce mouvement d'action non-violente a commencé en avril 1977, lors des premières disparitions, et les femmes continuent de se battre encore aujourd'hui.
Grâce aux progrès de la sciences et aux recherches ADN, de nombreuses "mères de la Place de Mai" ont pu retrouver non pas leurs enfants, mais leurs petits-enfants. En effet, de nombreuses femmes enceintes ont "disparu" pendant la dictature du général Videla, mais leurs enfants sont nés et ont été placés dans des familles de militaires proches du Régime. Ce sont sur ces petits-enfants que les "mères" devenues "grand-mères" de la Place de Mai placent tous leurs espoirs.
Las madres de los "desaparecidos" siguen manifestando todos los jueves en la Plaza de Mayo, en Buenos Aires.
Les mères des "disparus" continuent de manifester tous les jeudis sur la Place de Mai, à Buenos Aires.