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Raconter le séjour d'un européen dans un village indien Invention type bac

Ce contenu a été rédigé par l'équipe éditoriale de Kartable.

Dernière modification : 24/10/2018 - Conforme au programme 2018-2019

Métropole, 2012, voie L

Quelques années plus tard, l'un des Indiens Tupinambas qui avait reçu Jean de Léry raconte à son peuple, lors d'une cérémonie publique, l'arrivée et le séjour de cet Européen dans leur village du Brésil.

Texte B : Jean de Léry, Histoire d'un voyage fait en la terre du Brésil, chapitre XVIII, (orthographe modernisée)

1578

(…) Combien que1 nos Tupinambas reçoivent fort humainement les étrangers amis qui les vont visiter, si est-ce néanmoins2 que les Français et autres de par deçà3 qui n'entendent pas leur langage se trouvent du commencement4 merveilleusement étonnés parmi eux. Et de ma part, la première fois que je les fréquentai, qui fut trois semaines après que nous fûmes arrivés en l'île de Villegagnon, qu'un truchement5 me mena avec lui en terre ferme en quatre ou cinq villages : quand nous fûmes arrivés au premier, nommé Yabouraci en langage du pays, et par les Français Pépin (à cause d'un navire qui y chargea une fois, le maître duquel se nommait ainsi), qui n'était qu'à deux lieues de notre fort, me voyant tout incontinent6 environné de sauvages, lesquels me demandaient : "Marapé-dereré, marapé-dereré ?", c'est-à-dire : "Comment as-tu nom, comment as-tu nom ?" (à quoi alors je n'entendais que le haut allemand7) et, au reste, l'un ayant pris mon chapeau qu'il mis sur sa tête, l'autre mon épée et ma ceinture qu'il ceignit sur un corps tout nu, l'autre ma casaque qu'il vêtit, eux, dis-je, m'étourdissant de leurs crieries8 et courant de cette façon parmi leur village avec mes hardes, non seulement je croyais avoir tout perdu, mais aussi je ne savais où j'en étais. Mais comme l'expérience m'a montré plusieurs fois depuis, ce n'était que faute de savoir leur manière de faire : car faisant le même9 après qu'ils se sont ainsi un peu joués des besognes10 d'autrui, ils rapportent et rendent le tout à ceux à qui elles appartiennent. Là-dessus, le truchement m'ayant averti qu'ils désiraient surtout de savoir mon nom, mais que de leur dire Pierre, Guillaume ou Jean, eux ne les pouvant prononcer ni retenir (comme de fait au lieu de dire Jean ils disaient Nian), il me fallait accommoder de leur nommer quelque chose qui leur fût connue : cela, comme il me dit, étant si bien venu à propos de mon surnom11, Léry, signifie une huître en leur langage, je leur dis que je m'appelais Léry-oussou, c'est-à-dire une grosse huître. De quoi eux se tenant bien satisfaits, avec leur admiration12Teh ! se prenant à rire, dirent : "Vraiment voilà un beau nom et nous n'avions point encore vu de Mair, c'est-à-dire Français, qui s'appelât ainsi."

1 Combien que : bien que
2 Autres de par deçà : désigne ici les Européens.
3 Si est-ce néanmoins que : il est certain néanmoins que.
4 Du commencement : au commencement
5 Truchement : interprète qui connaît la langue des Tupinambas.
6 Tout incontinent : immédiatement
7 Je n'entendais que le haut allemand : je ne comprenais rien.
8 Crieries : criailleries
9 Le même : la même chose
10 Besognes : affaires, objets
11 Surnom : nom de famille
12 Avec leur admiration Teh ! : les Tupinambas expriment leur admiration par l'interjection Teh ! et se mettent à rire.

Qui doit raconter l'histoire ?

Texte B : Jean de Léry, Histoire d'un voyage fait en la terre du Brésil, chapitre XVIII, (orthographe modernisée)

1578

(…) Combien que1 nos Tupinambas reçoivent fort humainement les étrangers amis qui les vont visiter, si est-ce néanmoins2 que les Français et autres de par deçà3 qui n'entendent pas leur langage se trouvent du commencement4 merveilleusement étonnés parmi eux. Et de ma part, la première fois que je les fréquentai, qui fut trois semaines après que nous fûmes arrivés en l'île de Villegagnon, qu'un truchement5 me mena avec lui en terre ferme en quatre ou cinq villages : quand nous fûmes arrivés au premier, nommé Yabouraci en langage du pays, et par les Français Pépin (à cause d'un navire qui y chargea une fois, le maître duquel se nommait ainsi), qui n'était qu'à deux lieues de notre fort, me voyant tout incontinent6 environné de sauvages, lesquels me demandaient : "Marapé-dereré, marapé-dereré ?", c'est-à-dire : "Comment as-tu nom, comment as-tu nom ?" (à quoi alors je n'entendais que le haut allemand7) et, au reste, l'un ayant pris mon chapeau qu'il mis sur sa tête, l'autre mon épée et ma ceinture qu'il ceignit sur un corps tout nu, l'autre ma casaque qu'il vêtit, eux, dis-je, m'étourdissant de leurs crieries8 et courant de cette façon parmi leur village avec mes hardes, non seulement je croyais avoir tout perdu, mais aussi je ne savais où j'en étais. Mais comme l'expérience m'a montré plusieurs fois depuis, ce n'était que faute de savoir leur manière de faire : car faisant le même9 après qu'ils se sont ainsi un peu joués des besognes10 d'autrui, ils rapportent et rendent le tout à ceux à qui elles appartiennent. Là-dessus, le truchement m'ayant averti qu'ils désiraient surtout de savoir mon nom, mais que de leur dire Pierre, Guillaume ou Jean, eux ne les pouvant prononcer ni retenir (comme de fait au lieu de dire Jean ils disaient Nian), il me fallait accommoder de leur nommer quelque chose qui leur fût connue : cela, comme il me dit, étant si bien venu à propos de mon surnom11, Léry, signifie une huître en leur langage, je leur dis que je m'appelais Léry-oussou, c'est-à-dire une grosse huître. De quoi eux se tenant bien satisfaits, avec leur admiration12Teh ! se prenant à rire, dirent : "Vraiment voilà un beau nom et nous n'avions point encore vu de Mair, c'est-à-dire Français, qui s'appelât ainsi."

1 Combien que : bien que
2 Autres de par deçà : désigne ici les Européens.
3 Si est-ce néanmoins que : il est certain néanmoins que.
4 Du commencement : au commencement
5 Truchement : interprète qui connaît la langue des Tupinambas.
6 Tout incontinent : immédiatement
7 Je n'entendais que le haut allemand : je ne comprenais rien.
8 Crieries : criailleries
9 Le même : la même chose
10 Besognes : affaires, objets
11 Surnom : nom de famille
12 Avec leur admiration Teh ! : les Tupinambas expriment leur admiration par l'interjection Teh ! et se mettent à rire.

Quel temps doit-on utiliser pour raconter la visite de Léry ?

Texte B : Jean de Léry, Histoire d'un voyage fait en la terre du Brésil, chapitre XVIII, (orthographe modernisée)

1578

(…) Combien que1 nos Tupinambas reçoivent fort humainement les étrangers amis qui les vont visiter, si est-ce néanmoins2 que les Français et autres de par deçà3 qui n'entendent pas leur langage se trouvent du commencement4 merveilleusement étonnés parmi eux. Et de ma part, la première fois que je les fréquentai, qui fut trois semaines après que nous fûmes arrivés en l'île de Villegagnon, qu'un truchement5 me mena avec lui en terre ferme en quatre ou cinq villages : quand nous fûmes arrivés au premier, nommé Yabouraci en langage du pays, et par les Français Pépin (à cause d'un navire qui y chargea une fois, le maître duquel se nommait ainsi), qui n'était qu'à deux lieues de notre fort, me voyant tout incontinent6 environné de sauvages, lesquels me demandaient : "Marapé-dereré, marapé-dereré ?", c'est-à-dire : "Comment as-tu nom, comment as-tu nom ?" (à quoi alors je n'entendais que le haut allemand7) et, au reste, l'un ayant pris mon chapeau qu'il mis sur sa tête, l'autre mon épée et ma ceinture qu'il ceignit sur un corps tout nu, l'autre ma casaque qu'il vêtit, eux, dis-je, m'étourdissant de leurs crieries8 et courant de cette façon parmi leur village avec mes hardes, non seulement je croyais avoir tout perdu, mais aussi je ne savais où j'en étais. Mais comme l'expérience m'a montré plusieurs fois depuis, ce n'était que faute de savoir leur manière de faire : car faisant le même9 après qu'ils se sont ainsi un peu joués des besognes10 d'autrui, ils rapportent et rendent le tout à ceux à qui elles appartiennent. Là-dessus, le truchement m'ayant averti qu'ils désiraient surtout de savoir mon nom, mais que de leur dire Pierre, Guillaume ou Jean, eux ne les pouvant prononcer ni retenir (comme de fait au lieu de dire Jean ils disaient Nian), il me fallait accommoder de leur nommer quelque chose qui leur fût connue : cela, comme il me dit, étant si bien venu à propos de mon surnom11, Léry, signifie une huître en leur langage, je leur dis que je m'appelais Léry-oussou, c'est-à-dire une grosse huître. De quoi eux se tenant bien satisfaits, avec leur admiration12Teh ! se prenant à rire, dirent : "Vraiment voilà un beau nom et nous n'avions point encore vu de Mair, c'est-à-dire Français, qui s'appelât ainsi."

1 Combien que : bien que
2 Autres de par deçà : désigne ici les Européens.
3 Si est-ce néanmoins que : il est certain néanmoins que.
4 Du commencement : au commencement
5 Truchement : interprète qui connaît la langue des Tupinambas.
6 Tout incontinent : immédiatement
7 Je n'entendais que le haut allemand : je ne comprenais rien.
8 Crieries : criailleries
9 Le même : la même chose
10 Besognes : affaires, objets
11 Surnom : nom de famille
12 Avec leur admiration Teh ! : les Tupinambas expriment leur admiration par l'interjection Teh ! et se mettent à rire.

Quel type de texte est attendu ?

Texte B : Jean de Léry, Histoire d'un voyage fait en la terre du Brésil, chapitre XVIII, (orthographe modernisée)

1578

(…) Combien que1 nos Tupinambas reçoivent fort humainement les étrangers amis qui les vont visiter, si est-ce néanmoins2 que les Français et autres de par deçà3 qui n'entendent pas leur langage se trouvent du commencement4 merveilleusement étonnés parmi eux. Et de ma part, la première fois que je les fréquentai, qui fut trois semaines après que nous fûmes arrivés en l'île de Villegagnon, qu'un truchement5 me mena avec lui en terre ferme en quatre ou cinq villages : quand nous fûmes arrivés au premier, nommé Yabouraci en langage du pays, et par les Français Pépin (à cause d'un navire qui y chargea une fois, le maître duquel se nommait ainsi), qui n'était qu'à deux lieues de notre fort, me voyant tout incontinent6 environné de sauvages, lesquels me demandaient : "Marapé-dereré, marapé-dereré ?", c'est-à-dire : "Comment as-tu nom, comment as-tu nom ?" (à quoi alors je n'entendais que le haut allemand7) et, au reste, l'un ayant pris mon chapeau qu'il mis sur sa tête, l'autre mon épée et ma ceinture qu'il ceignit sur un corps tout nu, l'autre ma casaque qu'il vêtit, eux, dis-je, m'étourdissant de leurs crieries8 et courant de cette façon parmi leur village avec mes hardes, non seulement je croyais avoir tout perdu, mais aussi je ne savais où j'en étais. Mais comme l'expérience m'a montré plusieurs fois depuis, ce n'était que faute de savoir leur manière de faire : car faisant le même9 après qu'ils se sont ainsi un peu joués des besognes10 d'autrui, ils rapportent et rendent le tout à ceux à qui elles appartiennent. Là-dessus, le truchement m'ayant averti qu'ils désiraient surtout de savoir mon nom, mais que de leur dire Pierre, Guillaume ou Jean, eux ne les pouvant prononcer ni retenir (comme de fait au lieu de dire Jean ils disaient Nian), il me fallait accommoder de leur nommer quelque chose qui leur fût connue : cela, comme il me dit, étant si bien venu à propos de mon surnom11, Léry, signifie une huître en leur langage, je leur dis que je m'appelais Léry-oussou, c'est-à-dire une grosse huître. De quoi eux se tenant bien satisfaits, avec leur admiration12Teh ! se prenant à rire, dirent : "Vraiment voilà un beau nom et nous n'avions point encore vu de Mair, c'est-à-dire Français, qui s'appelât ainsi."

1 Combien que : bien que
2 Autres de par deçà : désigne ici les Européens.
3 Si est-ce néanmoins que : il est certain néanmoins que.
4 Du commencement : au commencement
5 Truchement : interprète qui connaît la langue des Tupinambas.
6 Tout incontinent : immédiatement
7 Je n'entendais que le haut allemand : je ne comprenais rien.
8 Crieries : criailleries
9 Le même : la même chose
10 Besognes : affaires, objets
11 Surnom : nom de famille
12 Avec leur admiration Teh ! : les Tupinambas expriment leur admiration par l'interjection Teh ! et se mettent à rire.

Dans une description au passé, quel temps utilise-t-on ?

  • Il s'agit d'une reprise du texte B selon un autre point de vue.
  • Il faut mettre en valeur les réactions des Indiens. Les réactions sont donc l'étonnement, la curiosité et la joie.
  • On attend un point de vue étranger sur le voyageur européen.
  • Il s'agit d'un discours. Il faut utiliser les procédés du discours, préciser qui est le locuteur. Le peuple peut également réagir.
  • Il faut rappeler les circonstances de l'arrivée de Léry et l'accueil qu'il a reçu.
  • Il faut raconter les efforts de Léry pour s'intégrer, mais toujours d'un point de vue extérieur.
  • Le lieu est le village de Yabouraci.
  • On valorisera les copies avec une description physique de Léry, d'un point de vue indien (étonnement).
  • Le récit se passe quelques années après la visite de Léry.
  • Il faut définir qui parle : le chef de la tribu ?
  • On peut expliquer les répercussions, positives ou négatives, du séjour de Léry.

Les Tupinambas sont réunis sur la place du village à l'occasion d'une grande fête. Les enfants questionnent le grand chef.

"Ô grand chef ! Pouvez-vous nous raconter de nouveau l'histoire de l'homme blanc qui était venu habiter avec nous ?
- Oh oui ! L'histoire de Léry-oussou !
- Avec grand plaisir. Notre camarade Léry-oussou était arrivé un beau jour d'automne. Il portait, je me souviens, un costume vraiment très étrange. Il avait le corps presque entièrement couvert de tissu. Non seulement la coupe était fort étrange, mais il devait avoir très chaud aussi ! Nous avions beaucoup ri, et nous tournions autour de lui. Je me souviens encore qu'il appelait notre village Pépin !
- Pépin ?
- Oui, les hommes blancs donnent de nouveaux noms à tout, même quand la chose a déjà été nommée. Nous avions d'ailleurs essayé de discuter avec lui mais il ne comprenait pas notre langue. L'un de nous avait pris cette étrange coiffe qu'il avait sur la tête, il avait saisi sa longue arme qu'on appelle une épée, et mis autour de sa taille ce que Léry portait lui-même. Nous nous étions beaucoup amusés ! Un autre avait pris sa casaque, et tous deux couraient dans le village en se moquant de lui ! Le pauvre homme ne semblait rien comprendre et nous regardait un peu comme si nous étions fous, s'adressant à nous comme si nous étions des enfants. L'homme blanc essaya ensuite de se nommer, et je sais bien qu'il nous rapporta un faux nom. Il devait croire que nous ne pourrions pas prononcer son vrai prénom, lui qui était incapable de retenir nos propres mots. Il dit s'appeler Léry-oussou !
- Ahahah ! Léry-oussou ! Léry-oussou !
- Oui, nous avons tous beaucoup ri, sachant bien que cela ne pouvait être son nom. Mais comme nous nous étions amusés ! Les hommes blancs qui l'accompagnaient nous ont offert ensuite de nombreux cadeaux. Des miroirs, des bijoux, des boissons qui faisaient tourner la tête... Nous avions cru qu'ils étaient des envoyés de Dieu tant ils étaient généreux.
- Tous les hommes blancs étaient comme Léry-oussou ?
- Non. Si Léry-oussou nous prenait pour des enfants d'abord, il avait tout de même le cœur bon. Il essaya de comprendre notre culture, il nous appelait "mes frères". Il était curieux, posait sans cesse des questions. Il apprit à parler notre langue et bientôt ne parlait plus qu'ainsi. Il nous expliquait d'où il venait et quelles étaient ses propres coutumes. Il m'apprit à parler français. Il était heureux parmi nous. Il nous apprit comment bâtir des huttes plus solides, et je lui appris à chasser !
- Mais pourquoi est-il parti ?
- Les autres hommes blancs n'étaient pas comme lui. Nous les avions cru envoyés par les dieux. Ils étaient des enfants du diable. Les autres nous volaient tout, ils séduisaient nos femmes, ils tuaient certains de nous si nous élevions la voix... Ils renommaient tout ce que nous avions, ils s'appropriaient ce que la nature leur prêtait simplement. Léry-oussou était parti avant. Il devait rapporter ce qu'il avait vu. Il voulait parler en notre nom dans son pays. Mais en nous laissant aux mains de ses compagnons blancs, il nous a livrés à l'horreur. Nous regrettons son départ, à cet ami. Mais nous regrettons surtout qu'il ne soit jamais revenu sur nos terres. Depuis, les Tupinambas n'ont plus connu la paix.

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