Déterminer la nature grammaticale de chaque terme en gras dans les phrases suivantes.
Il est vrai que les jolies fleurs jaunes ont une odeur très agréable.
« Une » est un déterminant puisque, placé avant un nom, il détermine ce nom, c'est-à-dire qu'il l'actualise dans un discours. Plus précisément, c'est un article indéfini.
Il est vrai que les jolies fleurs jaunes ont une odeur très agréable.
« Les » est un déterminant puisque, placé avant un nom, il détermine ce nom, c'est-à-dire qu'il l'actualise dans un discours. Plus précisément, c'est un article défini.
Il est vrai que les jolies fleurs jaunes ont une odeur très agréable.
« Fleurs » est un nom : il est apte à s'accorder, comme le prouve la marque du pluriel, et il est le noyau du groupe de mots « les jolies fleurs jaunes ». Plus précisément, c'est un nom commun.
Il est vrai que les jolies fleurs jaunes ont une odeur très agréable.
« Jaunes » est un adjectif qui qualifie « les fleurs », c'est-à-dire qui apporte une connaissance sur « les fleurs » dont il est question. Plus précisément, c'est un adjectif de couleur postposé, c'est-à-dire « posé » juste après le nom qu'il qualifie.
Il est vrai que les jolies fleurs jaunes ont une odeur très agréable.
« Ont » est le verbe de la proposition subordonnée conjonctive complétive. Plus précisément, il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la troisième personne du pluriel au présent de l'indicatif.
Il est vrai que les jolies fleurs jaunes ont une odeur très agréable.
« Que » est une conjonction de subordination qui introduit la proposition subordonnée conjonctive complétive « que les jolies fleurs jaunes ont une odeur très agréable » : cette conjonction sert de liant, c'est-à-dire de passerelle entre la proposition principale « il est vrai » et la proposition subordonnée. « Que » n'a aucune valeur circonstancielle, raison pour laquelle la subordonnée est conjonctive complétive et non pas conjonctive circonstancielle.