Associer chaque mouvement aux auteurs de théâtre du XXe siècle qui lui correspondent.
Le vaudeville
La réécriture des mythes antiques
La tradition classique
Le théâtre engagé de l'après-guerre
Le théâtre populaire
Le théâtre de l'absurde
Le théâtre proche du Nouveau Roman
Le théâtre tragique
Le théâtre contemporain
Georges Feydeau, Eugène Labiche et Sacha Guitry
Jean Anouilh, Jean Cocteau et Jean Giraudoux
Henri de Montherlant
Albert Camus et Jean-Paul Sartre
Jean Vilar et Bertolt Brecht
Eugène Ionesco, Samuel Beckett et Jean Genet
Marguerite Duras et Nathalie Sarraute
Bernard-Marie Koltès
Jean-Luc Lagarce, Yasmina Réza et Wajdi Mouawad
Au début du XXe siècle, pour quel théâtre l'engouement populaire continue-t-il ?
L'engouement populaire pour le vaudeville et le théâtre de boulevard continue au début du XXe siècle.
Après la Seconde Guerre mondiale, quel théâtre défendent Albert Camus et Jean-Paul Sartre ?
Dans les années 1940, Albert Camus et Jean-Paul Sartre défendent un théâtre plus engagé politiquement, illustrant leurs réflexions philosophiques sur l'action, la révolution ou la responsabilité individuelle et sociale.
Quel théâtre de Beckett et Ionesco renouvelle l'art dramatique, tout en mélangeant tragique, métaphysique et humour ?
Il s'agit du théâtre de la cruauté, théâtre de l'absurde ou Nouveau Théâtre. Samuel Beckett avec En attendant Godot (1952) et Oh les beaux jours (1963), et Eugène Ionesco avec La Cantatrice chauve (1950) et Les Chaises (1952), sont les deux pères du théâtre de l'absurde. Leurs pièces reflètent la perte des repères et la défiance vis-à-vis du langage manipulateur. Les personnages sont réduits à des pantins, rendant impossible toute communication, l'intrigue n'a plus de cohérence, et le langage est totalement déstructuré.
Vrai ou faux ? Le théâtre des années 1920 est également le lieu de nouvelles expériences surréalistes ou dadaïstes.
C'est vrai, avec Guillaume Apollinaire (Les Mamelles de Tirésias, 1917) ou avec Roger Vitrac (Victor ou Les Enfants au pouvoir, 1929).