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  4. Exposé type bac : L'Île des esclaves, Scène 3

L'Île des esclaves, Scène 3 Exposé type bac

Sommaire

ILa construction du discours de CléanthisIIEuphrosine, une coquetteIIIUne double satireIVLe théâtre dans le théâtreVLes procédés comiques

Trivelin, Cléanthis, esclave, Euphrosine, sa maîtresse.

TRIVELIN :
Ah ça ! ma compatriote, - car je regarde désormais notre île comme votre patrie, - dites-moi aussi votre nom ?

CLEANTHIS (saluant) :
Je m'appelle Cléanthis ; et elle, Euphrosine.

TRIVELIN :
Cléanthis ? passe pour cela.

CLEANTHIS :
J'ai aussi des surnoms ; vous plaît-il de les savoir ?

TRIVELIN :
Oui-da. Et quels sont-ils ?

CLEANTHIS :
J'en ai une liste : Sotte, Ridicule, Bête, Butorde, Imbécile, et cœtera.

EUPHROSINE (en soupirant) :
Impertinente que vous êtes !

CLEANTHIS :
Tenez, tenez, en voilà encore un que j'oubliais.

TRIVELIN :
Effectivement, elle vous prend sur le fait. Dans votre pays, Euphrosine, on a bientôt dit des injures à ceux à qui l'on peut en dire impunément.

EUPHROSINE :
Hélas ! que voulez-vous que je lui réponde, dans l'étrange aventure où je me trouve ?

CLEANTHIS :
Oh ! dame, il n'est plus si aisé de me répondre. Autrefois il n'y avait rien de si commode ; on n'avait affaire qu'à de pauvres gens : fallait-il tant de cérémonies ? "Faites cela, je le veux ; taisez-vous, sotte..." Voilà qui était fini. Mais à présent, il faut parler raison ; c'est un langage étranger pour Madame ; elle l'apprendra avec le temps ; il faut se donner patience : je ferai de mon mieux pour l'avancer.

TRIVELIN (à Cléanthis) :
Modérez-vous, Euphrosine. (À Euphrosine) Et vous, Cléanthis, ne vous abandonnez point à votre douleur. Je ne puis changer nos lois ni vous en affranchir : je vous ai montré combien elles étaient louables et salutaires pour vous.

CLEANTHIS :
Hum ! Elle me trompera bien si elle amende.

TRIVELIN :
Mais comme vous êtes d'un sexe naturellement assez faible, et que par là vous avez dû céder plus facilement qu'un homme aux exemples de hauteur, de mépris et de dureté qu'on vous a donnés chez vous contre leurs pareils, tout ce que je puis faire pour vous, c'est de prier Euphrosine de peser avec bonté les torts que que vous avez avec elle, afin de les peser avec justice.

CLEANTHIS :
Oh ! tenez, tout cela est trop savant pour moi, je n'y comprends rien ; j'irai le grand chemin, je pèserai comme elle pesait ; ce qui viendra, nous le prendrons.

TRIVELIN :
Doucement, point de vengeance.

CLEANTHIS :
Mais, notre bon ami, au bout du compte, vous parlez de son sexe ; elle a le défaut d'être faible, je lui en offre autant ; je n'ai pas la vertu d'être forte. S'il faut que j'excuse toutes ses mauvaises manières à mon égard, il faudra donc qu'elle excuse aussi la rancune que j'en ai contre elle ; car je suis femme autant qu'elle, moi : voyons qui est-ce qui décidera. Ne suis-je pas la maîtresse, une fois ? Eh bien, qu'elle commence toujours par excuser ma rancune ; et puis, moi, je lui pardonnerai, quand je pourrai, ce qu'elle m'a fait : qu'elle attende !

EUPHROSINE (à Trivelin) :
Quels discours ! Faut-il que vous m'exposiez à les entendre !

CLEANTHIS :
Souffrez-les, Madame, c'est le fruit de vos œuvres.

TRIVELIN :
Allons, Euphrosine, modérez-vous.

CLEANTHIS :
Que voulez-vous que je vous dise ? quand on a de la colère, il n'y a rien de tel pour la passer, que de la contenter un peu, voyez-vous ! Quand je l'aurai querellée à mon aise une douzaine de fois seulement, elle en sera quitte ; mais il me faut cela.

TRIVELIN (à part, à Euphrosine) :
Il faut que ceci ait son cours ; mais consolez-vous, cela finira plus tôt que vous ne pensez. (À Cléanthis) J'espère, Euphrosine, que vous perdrez votre ressentiment, et je vous y exhorte en ami. Venons maintenant à l'examen de son caractère : il est nécessaire que vous m'en donniez un portrait qui se doit faire devant la personne qu'on peint, afin qu'elle se connaisse, qu'elle rougisse de ses ridicules, si elle en a, et qu'elle se corrige. Nous avons là de bonnes intentions, comme vous voyez. Allons, commençons.

CLEANTHIS :
Oh ! que cela est bien inventé ! Allons, me voilà prête ; interrogez-moi, je suis dans mon fort.

EUPHROSINE (doucement) :
Je vous prie, Monsieur, que je me retire, et que je n'entende point ce qu'elle va dire.

TRIVELIN :
Hélas ! ma chère dame, cela n'est fait que pour vous ; il faut que vous soyez présente.

CLEANTHIS :
Restez, restez ; un peu de honte est bientôt passé.

TRIVELIN :
Vaine, minaudière et coquette, voilà d'abord à peu près sur quoi je vais vous interroger au hasard. Cela la regarde-t-il ?

CLEANTHIS :
Vaine, minaudière et coquette, si cela la regarde ? Eh ! voilà ma chère maîtresse ; cela lui ressemble comme son visage.

EUPHROSINE :
N'en voilà-t-il pas assez, Monsieur ?

TRIVELIN :
Ah ! je vous félicite du petit embarras que cela vous donne ; vous sentez, c'est bon signe, et j'en augure bien pour l'avenir : mais ce ne sont encore là que les grands traits ; détaillons un peu cela. En quoi donc, par exemple, lui trouvez-vous les défauts dont nous parlons ?

CLEANTHIS :
En quoi ? partout, à toute heure, en tous lieux; je vous ai dit de m'interroger ; mais par où commencer ? je n'en sais rien, je m'y perds. Il y a tant de choses, j'en ai tant vu, tant remarqué de toutes les espèces, que cela se brouille. Madame se tait, Madame parle ; elle regarde, elle est triste, elle est gaie : silence, discours, regards, tristesse et joie : c'est tout un, il n'y a que la couleur de différente ; c'est vanité muette, contente ou fâchée ; c'est coquetterie babillarde, jalouse ou curieuse ; c'est, Madame, toujours vaine ou coquette, l'un après l'autre, ou tous les deux à la fois : voilà ce que c'est, voilà par où je débute ; rien que cela.

EUPHROSINE :
Je n'y saurais tenir.

TRIVELIN :
Attendez donc, ce n'est qu'un début.

CLEANTHIS :
Madame se lève ; a-t-elle bien dormi, le sommeil l'a-t-il rendue belle, se sent-elle du vif, du sémillant dans les yeux ? vite, sur les armes ; la journée sera glorieuse. "Qu'on m'habille !" Madame verra du monde aujourd'hui ; elle ira aux spectacles, aux promenades, aux assemblées ; son visage peut se manifester, peut soutenir le grand jour, il fera plaisir à voir, il n'y a qu'à le promener hardiment, il est en état, il n'y a rien à craindre.

TRIVELIN (à Euphrosine) :
Elle développe assez bien cela.

CLEANTHIS :
Madame, au contraire, a-t-elle mal reposé ? "Ah ! qu'on m'apporte un miroir ; comme me voilà faite ! que je suis mal bâtie !" Cependant on se mire, on éprouve son visage de toutes les façons, rien ne réussit ; des yeux battus, un teint fatigué ; voilà qui est fini, il faut envelopper ce visage-là, nous n'aurons que du négligé, Madame ne verra personne aujourd'hui, pas même le jour, si elle peut; du moins fera-t-il sombre dans la chambre. Cependant, il vient compagnie, on entre : que va-t-on penser du visage de Madame ? on croira qu'elle enlaidit : donnera-t-elle ce plaisir-là à ses bonnes amies ? Non, il y a remède à tout : vous allez voir. "Comment vous portez-vous, Madame ? - Très mal, Madame ; j'ai perdu le sommeil ; il y a huit jours que je n'ai fermé l'œil ; je n'ose pas me montrer, je fais peur." Et cela veut dire : "Messieurs, figurez-vous que ce n'est point moi au moins ; ne me regardez pas, remettez à me voir ; ne me jugez pas aujourd'hui ; attendez que j'aie dormi." J'entendais tout cela, car nous autres esclaves, nous sommes doués contre nos maîtres d'une pénétration !... Oh ! ce sont de pauvres gens pour nous.

TRIVELIN (à Euphrosine) :
Courage, Madame, profitez de cette peinture-là, car elle me paraît fidèle.

EUPHROSINE :
Je ne sais où j'en suis.

CLEANTHIS :
Vous en êtes aux deux tiers ; et j'achèverai, pourvu que cela ne vous ennuie pas.

TRIVELIN :
Achevez, achevez ; Madame soutiendra bien le reste.

CLEANTHIS :
Vous souvenez-vous d'un soir où vous étiez avec ce cavalier si bien fait ? j'étais dans la chambre ; vous vous entreteniez bas ; mais j'ai l'oreille fine : vous vouliez lui plaire sans faire semblant de rien ; vous parliez d'une femme qu'il voyait souvent. "Cette femme-là est aimable, disiez-vous : elle a les yeux petits, mais très doux." ; et là-dessus, vous ouvriez les vôtres, vous vous donniez des tons, des gestes de tête, de petites contorsions, des vivacités. Je riais. Vous réussîtes pourtant, le cavalier s'y prit ; il vous offrit son cœur. "À moi ? lui dîtes-vous. - Oui, Madame, à vous-même, à tout ce qu'il y a de plus aimable au monde. - Continuez, folâtre, continuez", dîtes-vous, en ôtant vos gants sous prétexte de m'en demander d'autres. Mais vous avez la main belle ; il la vit, il la prit, il la baisa ; cela anima sa déclaration : et c'était là les gants que vous demandiez. Eh bien ! y suis-je ?

TRIVELIN (à Euphrosine) :
En vérité, elle a raison.

CLEANTHIS :
Écoutez, écoutez, voici le plus plaisant. Un jour qu'elle pouvait m'entendre, et qu'elle croyait que je ne m'en doutais pas, je parlais d'elle, et je dis : "Oh ! pour cela il faut l'avouer, Madame est une des plus belles femmes du monde." Que de bontés, pendant huit jours, ce petit mot-là ne me valut-il pas ! J'essayai en pareille occasion de dire que Madame était une femme très raisonnable : oh ! je n'eus rien, cela ne prit point ; et c'était bien fait, car je la flattais.

EUPHROSINE :
Monsieur, je ne resterai point, ou l'on me fera rester par force ; je ne puis en souffrir davantage.

TRIVELIN :
En voilà donc assez pour à présent.

CLEANTHIS :
J'allais parler des vapeurs de mignardise auxquelles Madame est sujette à la moindre odeur. Elle ne sait pas qu'un jour je mis à son insu des fleurs dans la ruelle de son lit pour voir ce qu'il en serait. J'attendais une vapeur, elle est encore à venir. Le lendemain, en compagnie, une rose parut, crac, la vapeur arrive.

TRIVELIN :
Cela suffit, Euphrosine ; promenez-vous un moment à quelques pas de nous, parce que j'ai quelque chose à lui dire : elle ira vous rejoindre ensuite.

CLEANTHIS (s'en allant) :
Recommandez-lui d'être docile au moins. Adieu notre bon ami, je vous ai diverti, j'en suis bien aise. Une autre fois je vous dirai comme quoi Madame s'abstient souvent de mettre de beaux habits, pour en mettre un négligé qui lui marque tendrement la taille. C'est encore une finesse que cet habit-là ; on dirait qu'une femme qui le met ne se soucie pas de paraître, mais à d'autres ! on s'y ramasse dans un corset appétissant, on y montre sa bonne façon naturelle ; on y dit aux gens : "Regardez mes grâces, elles sont à moi, celles-là" ; et d'un autre côté on veut leur dire aussi : "Voyez comme je m'habille, quelle simplicité ! il n'y a point de coquetterie dans mon fait."

TRIVELIN :
Mais je vous ai priée de nous laisser.

CLEANTHIS :
Je sors, et tantôt nous reprendrons le discours, qui sera fort divertissant ; car vous verrez aussi comme quoi Madame entre dans une loge au spectacle, avec quelle emphase, avec quel air imposant, quoique d'un air distrait et sans y penser ; car c'est la belle éducation qui donne cet orgueil-là. Vous verrez comme dans la loge on y jette un regard indifférent et dédaigneux sur des femmes qui sont à côté, et qu'on ne connaît pas. Bonjour, notre bon ami, je vais à notre auberge.

Pierre de Marivaux

L'Île des esclaves

1725

I

La construction du discours de Cléanthis

  • Il y a un mélange du discours et du récit.
  • Cléanthis reprend les paroles d'Euphrosine au style direct, au présent de l'indicatif et à la première personne du singulier. Elle rapporte donc les paroles de sa maîtresse.
  • Le récit est marqué par des adverbes de temps tels que "cependant".
  • Les passages narratifs relatent les circonstances.
  • Cléanthis imite sa maîtresse, elle reprend donc les codes d'un langage mondain.
  • L'utilisation du pronom personnel "on" souligne qu'elle prend de la distance par rapport à sa maîtresse.
II

Euphrosine, une coquette

  • Cléanthis fait le portrait d'une coquette. Euphrosine est narcissique et superficielle.
  • La coquetterie d'Euphrosine est une manifestation de son égoïsme. Cléanthis raconte ainsi que sa maîtresse veut être la plus belle femme du monde.
  • Cleanthis parle des vapeurs de mignardise. Tout ce qui compte pour Euphrosine, ce sont les mondanités. Elle est manipulatrice et essaie d'obtenir des autres la réaction qu'elle souhaite. Ainsi, Cléanthis raconte comment elle veut mettre en valeur sa taille.
  • Elle est aussi orgueilleuse, comme le montre l'épisode de la loge.
  • Euphrosine est le symbole d'une société où les apparences sont ce qu'il y a de plus important.
III

Une double satire

  • Marivaux propose ici une satire. C'est celle de la coquetterie d'Euphrosine, mais aussi de l'attitude de Cléanthis.
  • En effet, cette dernière parle mal de son ancienne maîtresse. Elle n'a aucune honte à raconter des détails secrets de la vie d'Euphrosine. Elle n'a aucune compassion pour son ancienne maîtresse.
  • Cléanthis se montre aussi fourbe. Elle précise ainsi : "elle croyait que je ne m'en doutais pas", "à son insu". Elle a donc fait des choses dans le dos de sa maîtresse.
  • Le discours est marqué par l'exaspération de Cléanthis. Elle est pleine de rancoeur.
  • Cléanthis se montre sarcastique et méprisante. Elle cherche à se venger. Elle ne pouvait en "souffrir davantage".
  • Elle se lance dans ces critiques devant Euphrosine, qui ne le supporte d'ailleurs pas et demande plusieurs fois à sa servante d'arrêter. Euphrosine apparaît ainsi comme une victime, spectatrice impuissante qui doit subir cet affront.
  • Mais Cléanthis abuse de sa nouvelle position. Ainsi, Trivelin l'interrompt plusieurs fois : "en voilà donc assez pour à présent", "cela suffit", "mais je vous ai priée de nous laisser".
IV

Le théâtre dans le théâtre

  • Trivelin demande un portrait. Cléanthis se lance alors dans une description de son ancienne maîtresse à travers le récit de plusieurs anecdotes.
  • Euphrosine et Trivelin sont deux spectateurs de la scène. Euphrosine voudrait que cela cesse, alors que Trivelin pousse d'abord Cléanthis à continuer, admiratif : "elle développe assez bien cela", "cette peinture-là (…) me paraît fidèle".
  • Le discours est diégétique, car Cléanthis raconte la vie passée de sa maîtresse.
  • Le discours est aussi mimétique, Cléanthis joue à être sa maîtresse : "Vous vous donniez des tons, des gestes de tête, de petites contorsions, des vivacités. Je riais." Elle se fait actrice.
  • Il y a du discours rapporté. Cléanthis imite donc les gestes et la façon de parler de sa maîtresse.
  • Cléanthis s'amuse, elle surenchérit : "Madame se tait, Madame parle ; elle regarde, elle est triste, elle est gaie", "c'est vanité muette, contente ou fâchée".
  • Les répliques sont des descriptions de gestes et d'attitudes que Cléanthis reproduit. On sent qu'elle exagère, elle va de plus en plus vite : "Vous souvenez-vous … ?", "Écoutez, écoutez, voici le plus plaisant. Un jour qu'elle". Elle s'adresse à sa maîtresse puis à Trivelin.
  • Il y a donc une sorte de scène de théâtre dans le théâtre. Elle fait revivre des scènes passées. Double destination : scènes jouées pour Trivelin et pour les spectateurs. On parle de mise en abyme.
V

Les procédés comiques

  • La scène est comique, car Cléanthis se moque de sa maîtresse. Elle utilise le vocabulaire de la coquetterie et feint des formules de politesse. Elle reprend le langage d'Euphrosine.
  • Il y a beaucoup de fantaisie dans cette scène, beaucoup d'ironie. Cléanthis raconte une succession de petites anecdotes.
  • Il y a beaucoup d'exagération et des hyperboles.
  • On peut noter l'absence de didascalies. Mais dans les répliques de Cléanthis se dégage la mise en scène, qui est faite de nombreux gestes et de mimes.
  • Le récit est rapide, vivant.

En quoi cette scène est-elle comique ?

I. Le portrait d'une coquette
II. Cléanthis imite sa maîtresse
III. Une satire de la société

En quoi cette scène est-elle une mise en abyme ?

I. La situation d'énonciation
II. Cléanthis imite sa maîtresse
III. Le théâtre dans le théâtre

Comment Marivaux fait-il une satire de la société ?

I. Le portrait d'une coquette
II. Dénonciation des mondanités
III. Une satire de Cléanthis

Voir aussi
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