Caricature anglaise en faveur de l'émigration (Journal Punch, Londres)
National Library of New Zeland
1850
"The needlewoman at home and abroad" : "La couturière chez elle et à l'étranger"

Relier les différents éléments permettant de présenter ce document.
Date
Auteur
Nature
Source
1850
Inconnu
Une caricature
Journal Punch
La nature de ce document est une caricature (reproduction déformée de la réalité dont l'intention est souvent critique). Il date de 1850. La source est le journal Punch. L'auteur n'est pas mentionné.
Cette illustration représente la vie d'une couturière en Angleterre et une couturière ayant immigré. Relier les différents éléments de l'illustration permettant de caractériser sa vie en Angleterre et à l'étranger.
La vie est difficile, marquée par la pauvreté.
Elle a froid et manque de nourriture.
Elle est rejetée par une partie de la population.
Elle semble heureuse de vivre dans ce lieu.
Elle ne manque pas de nourriture.
Elle vit avec sa famille dans une maison.
Couturière en Angleterre
Couturière ayant immigré
En Angleterre, la vie est difficile pour la couturière et son enfant : ils sont en guenilles, paraissent avoir froid, et manquent de nourriture. Par ailleurs, ils semblent rejetés par une partie de la population londonienne puisqu'un homme en haut de forme, certainement aisé, les repousse avec son bras.
De l'autre côté, dans les colonies britanniques, la vie parait bien meilleure. Nous voyons ainsi le lieu de vie d'une famille d'immigrés, qui paraissent tous heureux de vivre dans ce lieu. En effet, la femme et les enfants sourient. Par ailleurs, ils ne manquent pas de nourriture puisque les deux enfants sont très bien nourris et que des jambons et de la nourriture sont accrochés au plafond. De même, le père est en train d'éplucher une pomme de terre. Enfin, en plus de posséder une maison, on peut apercevoir un jardin dans l'interstice de la porte.
Quel est le message de l'auteur ?
D'après ce document, le message de l'auteur est donc d'inciter les Anglais à partir dans les colonies, où la vie est meilleure. En effet, en 1850, le gouvernement anglais offre des traversées gratuites à ceux qui seront les plus utiles dans les colonies.