On étudie au spectrophotomètre une solution de tartrazine dans sa cuve.
On s'intéresse à l'absorption maximale du spectre de la solution étudiée donc à la longueur d'onde de 425 nm. À cette longueur d'onde, la valeur de l'absorbance étant la plus grande, l'incertitude sur la mesure est la plus petite.
On sait que le coefficient d'extinction molaire est alors de 23 000 L.mol-1.cm-1, que la longueur de la solution traversée est de 1,0 cm et que sa concentration est de 1{,}0.10^{-4} mol.L-1.
Quelle est alors l'absorbance de cette solution ?
L'absorbance d'une solution diluée contenant une espèce colorée est proportionnelle à la concentration de cette espèce et à l'épaisseur de la solution traversée par le faisceau lumineux.
Elle ne possède pas d'unité et se calcule donc de la manière suivante :
A \left(\lambda\right) = \varepsilon \left(\lambda\right) \times l \times C
Avec :
- \varepsilon \left(\lambda\right) en L.mol-1.cm-1
- l en cm
- C en mol.L-1
Donc en faisant l'application numérique :
A \left(425 nm\right) = 23\ 000 \times 1{,}0 \times 1{,}0\times10^{-4} = 2{,}3
L'absorbance de cette solution de tartrazine est de 2,3.
On étudie au spectrophotomètre une solution de cuivre II hexahydraté dans sa cuve.
On s'intéresse à l'absorption maximale du spectre de la solution étudiée donc à la longueur d'onde de 810 nm. À cette longueur d'onde, la valeur de l'absorbance étant la plus grande, l'incertitude sur la mesure est la plus petite.
On sait que le coefficient d'extinction molaire est alors de 12 L.mol-1.cm-1, que la longueur de la solution traversée est de 1 cm et que sa concentration est de 5{,}0\times10^{-2} mol.L-1.
Quelle est alors l'absorbance de cette solution ?
L'absorbance d'une solution diluée contenant une espèce colorée est proportionnelle à la concentration de cette espèce et à l'épaisseur de la solution traversée par le faisceau lumineux.
Elle ne possède pas d'unité et se calcule donc de la manière suivante :
A \left(\lambda\right) = \varepsilon \left(\lambda\right) \times l \times C
Avec :
- \varepsilon \left(\lambda\right) en L.mol-1.cm-1
- l en cm
- C en mol.L-1
Donc en faisant l'application numérique :
A \left(810 nm\right) = 12 \times 1 \times 5{,}0\times10^{-2} = 0{,}6
L'absorbance de cette solution de cuivre II hexahydraté est de 0,6.
On étudie au spectrophotomètre une solution de cobalt II hexahydraté dans sa cuve.
On s'intéresse à l'absorption maximale du spectre de la solution étudiée donc à la longueur d'onde de 510 nm. À cette longueur d'onde, la valeur de l'absorbance étant la plus grande, l'incertitude sur la mesure est la plus petite.
On sait que le coefficient d'extinction molaire est alors de 5 L.mol-1.cm-1, que la longueur de la solution traversée est de 1 cm et que sa concentration est de 1{,}0\times10^{-1} mol.L-1.
Quelle est alors l'absorbance de cette solution ?
L'absorbance d'une solution diluée contenant une espèce colorée est proportionnelle à la concentration de cette espèce et à l'épaisseur de la solution traversée par le faisceau lumineux.
Elle ne possède pas d'unité et se calcule donc de la manière suivante :
A \left(\lambda\right) = \varepsilon \left(\lambda\right) \times l \times C
Avec :
- \varepsilon \left(\lambda\right) en L.mol-1.cm-1
- l en cm
- C en mol.L-1
Donc en faisant l'application numérique :
A \left(510 nm\right) = 5 \times 1 \times 1{,}0\times10^{-1} = 0{,}5
L'absorbance de cette solution de cobalt II hexahydraté est de 0,5.
On étudie au spectrophotomètre une solution de chlorure de cobalt dans sa cuve.
On s'intéresse à l'absorption maximale du spectre de la solution étudiée donc à la longueur d'onde de 690 nm. À cette longueur d'onde, la valeur de l'absorbance étant la plus grande, l'incertitude sur la mesure est la plus petite.
On sait que le coefficient d'extinction molaire est alors de 615 L.mol-1.cm-1, que la longueur de la solution traversée est de 1,0 cm et que sa concentration est de 2{,}00\times10^{-3} mol.L-1.
Quelle est alors l'absorbance de cette solution ?
L'absorbance d'une solution diluée contenant une espèce colorée est proportionnelle à la concentration de cette espèce et à l'épaisseur de la solution traversée par le faisceau lumineux.
Elle ne possède pas d'unité et se calcule donc de la manière suivante :
A \left(\lambda\right) = \varepsilon \left(\lambda\right) \times l \times C
Avec :
- \varepsilon \left(\lambda\right) en L.mol-1.cm-1
- l en cm
- C en mol.L-1
Donc en faisant l'application numérique :
A \left(690 nm\right) = 615 \times 1{,}00 \times 2{,}00\times10^{-3} = 1{,}23
L'absorbance de cette solution de chlorure de cobalt est de 1,23.
On étudie au spectrophotomètre une solution d'ions triodure dans leur cuve.
On s'intéresse à l'absorption maximale du spectre de la solution étudiée donc à la longueur d'onde de 415 nm. À cette longueur d'onde, la valeur de l'absorbance étant la plus grande, l'incertitude sur la mesure est la plus petite.
On sait que le coefficient d'extinction molaire est alors de 4360 L.mol-1.cm-1, que la longueur de la solution traversée est de 1,0 cm et que sa concentration est de 1{,}0\times10^{-4} mol.L-1.
Quelle est alors l'absorbance de cette solution ?
L'absorbance d'une solution diluée contenant une espèce colorée est proportionnelle à la concentration de cette espèce et à l'épaisseur de la solution traversée par le faisceau lumineux.
Elle ne possède pas d'unité et se calcule donc de la manière suivante :
A \left(\lambda\right) = \varepsilon \left(\lambda\right) \times l \times C
Avec :
- \varepsilon \left(\lambda\right) en L.mol-1.cm-1
- l en cm
- C en mol.L-1
Donc en faisant l'application numérique :
A \left(415 nm\right) = 4\ 360 \times 1{,}0 \times 1{,}0\times10^{-4} = 0{,}436
L'absorbance de cette solution d'ions triodure est de 0,436.