En 1812, combien de soldats la « Grande Armée » de Napoléon Ier compte-t-elle ?
En 1812, la « Grande Armée » de Napoléon Ier compte 700 000 soldats dont moins de 50 % de Français. C'est la plus grande armée d'Europe.
Compléter la phrase suivante.
Après chaque victoire, Napoléon Ier fait signer au perdant un « traité de paix » qui l'oblige à soutenir la France ou à rester neutre.
Vrai ou faux ? Durant le Premier Empire, la France isole progressivement l'Allemagne en la privant d'alliés sur le continent européen.
Faux. Durant le Premier Empire, la France isole progressivement l'Angleterre en la privant d'alliés sur le continent européen.
En quelle année Napoléon Ier met-il en place le « blocus continental » contre l'Angleterre ?
Napoléon Ier met en place le « blocus continental » à partir de 1806. Avec le blocus, il veut ruiner l'Angleterre en interdisant tous les États européens qui sont sous son influence de faire du commerce avec elle.
Vrai ou faux ? Entre 1804 et 1815, la politique impérialiste de Napoléon Ier fait reculer les frontières au nord-est et au sud-est.
Vrai. Entre 1804 et 1815, la politique impérialiste de Napoléon Ier fait reculer les frontières au nord-est et au sud-est : la France s'agrandit.
Compléter la phrase suivante.
Durant le Premier Empire, les « États vassaux » comme les royaumes d'Espagne et de Naples sont contrôlés par la France : l'empereur y impose des membres de sa famille.
Durant le Premier Empire, quelle politique les protectorats délèguent-ils à Napoléon Ier ?
Les « protectorats » sont des États soumis qui ont délégué à Napoléon Ier la gestion de leur politique extérieure, comme les États membres de la confédération du Rhin créée par l'empereur en 1806.
Vrai ou faux ? Les « États alliés » du Premier Empire, comme l'empire d'Autriche et l'empire de Russie, conservent leur indépendance à condition de respecter le blocus continental.
Vrai. Les « États alliés » du Premier Empire, comme l'empire d'Autriche et l'empire de Russie, conservent leur indépendance à condition de respecter le blocus continental, c'est-à-dire de ne pas faire de commerce avec l'ennemi de l'Empire français : l'Angleterre.