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  4. Commentaire type bac : Jean Giono, Regain

Jean Giono, Regain Commentaire type bac

Ce contenu a été rédigé par l'équipe éditoriale de Kartable.

Dernière modification : 24/10/2018 - Conforme au programme 2018-2019

Pondichéry, 2009, voie S

Vous ferez le commentaire du texte de Jean Giono (texte C).

Texte C : Jean Giono (1895 - 1970), Regain, deuxième partie

1930

[Le village abandonné et son dernier habitant sont presque revenus à l'état sauvage ; mais Panturle, en fondant une famille avec sa compagne qui attend un enfant et en reprenant son activité d'agriculteur, va faire renaître le bonheur et la civilisation paysanne.]

Maintenant Panturle est seul.
Il a dit :
- Fille, soigne-toi bien, va doucement ; j'irai te chercher l'eau, le soir, maintenant. On a bien du contentement ensemble. Ne gâtons pas le fruit.
Puis il a commencé à faire ses grands pas de montagnard.
Il marche.
Il est tout embaumé de sa joie.
Il a des chansons qui sont là, entassées dans sa gorge à presser ses dents. Et il serre les lèvres.
C'est une joie dont il veut mâcher toute l'odeur et saliver longtemps le jus comme un mouton qui mange la saladelle du soir sur les collines. Il va, comme ça, jusqu'au moment où le beau silence s'est épaissi en lui et autour de lui comme un pré.
Il est devant ses champs. Il s'est arrêté devant eux. Il se baisse. Il prend une poignée de cette terre grasse, pleine d'air et qui porte la graine. C'est une terre de beaucoup de bonne volonté.
Il en tâte, entre ses doigts, toute la bonne volonté.
Alors, tout d'un coup, là, debout, il a appris la grande victoire.
Il lui a passé devant les yeux, l'image de la terre ancienne, renfrognée et poilue avec ses aigres genêts et ses herbes en couteau. Il a connu d'un coup, cette lande terrible qu'il était, lui, large ouvert au grand vent enragé, à toutes ces choses qu'on ne peut pas combattre sans l'aide de la vie.
Il est debout devant ses champs. Il a ses grands pantalons de velours brun, à côtes ; il semble vêtu avec un morceau de ses labours. Les bras le long du corps, il ne bouge pas. Il a gagné : c'est fini.
Il est solidement enfoncé dans la terre comme une colonne.

Quel plan est adapté au commentaire du texte suivant ?

Texte C : Jean Giono (1895 - 1970), Regain, deuxième partie

1930

[Le village abandonné et son dernier habitant sont presque revenus à l'état sauvage ; mais Panturle, en fondant une famille avec sa compagne qui attend un enfant et en reprenant son activité d'agriculteur, va faire renaître le bonheur et la civilisation paysanne.]

Maintenant Panturle est seul.
Il a dit :
- Fille, soigne-toi bien, va doucement ; j'irai te chercher l'eau, le soir, maintenant. On a bien du contentement ensemble. Ne gâtons pas le fruit.
Puis il a commencé à faire ses grands pas de montagnard.
Il marche.
Il est tout embaumé de sa joie.
Il a des chansons qui sont là, entassées dans sa gorge à presser ses dents. Et il serre les lèvres.
C'est une joie dont il veut mâcher toute l'odeur et saliver longtemps le jus comme un mouton qui mange la saladelle du soir sur les collines. Il va, comme ça, jusqu'au moment où le beau silence s'est épaissi en lui et autour de lui comme un pré.
Il est devant ses champs. Il s'est arrêté devant eux. Il se baisse. Il prend une poignée de cette terre grasse, pleine d'air et qui porte la graine. C'est une terre de beaucoup de bonne volonté.
Il en tâte, entre ses doigts, toute la bonne volonté.
Alors, tout d'un coup, là, debout, il a appris la grande victoire.
Il lui a passé devant les yeux, l'image de la terre ancienne, renfrognée et poilue avec ses aigres genêts et ses herbes en couteau. Il a connu d'un coup, cette lande terrible qu'il était, lui, large ouvert au grand vent enragé, à toutes ces choses qu'on ne peut pas combattre sans l'aide de la vie.
Il est debout devant ses champs. Il a ses grands pantalons de velours brun, à côtes ; il semble vêtu avec un morceau de ses labours. Les bras le long du corps, il ne bouge pas. Il a gagné : c'est fini.
Il est solidement enfoncé dans la terre comme une colonne.

Dans ce texte, quel est le champ lexical dominant ?

Texte C : Jean Giono (1895 - 1970), Regain, deuxième partie

1930

[Le village abandonné et son dernier habitant sont presque revenus à l'état sauvage ; mais Panturle, en fondant une famille avec sa compagne qui attend un enfant et en reprenant son activité d'agriculteur, va faire renaître le bonheur et la civilisation paysanne.]

Maintenant Panturle est seul.
Il a dit :
- Fille, soigne-toi bien, va doucement ; j'irai te chercher l'eau, le soir, maintenant. On a bien du contentement ensemble. Ne gâtons pas le fruit.
Puis il a commencé à faire ses grands pas de montagnard.
Il marche.
Il est tout embaumé de sa joie.
Il a des chansons qui sont là, entassées dans sa gorge à presser ses dents. Et il serre les lèvres.
C'est une joie dont il veut mâcher toute l'odeur et saliver longtemps le jus comme un mouton qui mange la saladelle du soir sur les collines. Il va, comme ça, jusqu'au moment où le beau silence s'est épaissi en lui et autour de lui comme un pré.
Il est devant ses champs. Il s'est arrêté devant eux. Il se baisse. Il prend une poignée de cette terre grasse, pleine d'air et qui porte la graine. C'est une terre de beaucoup de bonne volonté.
Il en tâte, entre ses doigts, toute la bonne volonté.
Alors, tout d'un coup, là, debout, il a appris la grande victoire.
Il lui a passé devant les yeux, l'image de la terre ancienne, renfrognée et poilue avec ses aigres genêts et ses herbes en couteau. Il a connu d'un coup, cette lande terrible qu'il était, lui, large ouvert au grand vent enragé, à toutes ces choses qu'on ne peut pas combattre sans l'aide de la vie.
Il est debout devant ses champs. Il a ses grands pantalons de velours brun, à côtes ; il semble vêtu avec un morceau de ses labours. Les bras le long du corps, il ne bouge pas. Il a gagné : c'est fini.
Il est solidement enfoncé dans la terre comme une colonne.

Quel procédé littéraire permet d'exprimer le bonheur du personnage dans le texte suivant ?

Texte C : Jean Giono (1895 - 1970), Regain, deuxième partie

1930

[Le village abandonné et son dernier habitant sont presque revenus à l'état sauvage ; mais Panturle, en fondant une famille avec sa compagne qui attend un enfant et en reprenant son activité d'agriculteur, va faire renaître le bonheur et la civilisation paysanne.]

Maintenant Panturle est seul.
Il a dit :
- Fille, soigne-toi bien, va doucement ; j'irai te chercher l'eau, le soir, maintenant. On a bien du contentement ensemble. Ne gâtons pas le fruit.
Puis il a commencé à faire ses grands pas de montagnard.
Il marche.
Il est tout embaumé de sa joie.
Il a des chansons qui sont là, entassées dans sa gorge à presser ses dents. Et il serre les lèvres.
C'est une joie dont il veut mâcher toute l'odeur et saliver longtemps le jus comme un mouton qui mange la saladelle du soir sur les collines. Il va, comme ça, jusqu'au moment où le beau silence s'est épaissi en lui et autour de lui comme un pré.
Il est devant ses champs. Il s'est arrêté devant eux. Il se baisse. Il prend une poignée de cette terre grasse, pleine d'air et qui porte la graine. C'est une terre de beaucoup de bonne volonté.
Il en tâte, entre ses doigts, toute la bonne volonté.
Alors, tout d'un coup, là, debout, il a appris la grande victoire.
Il lui a passé devant les yeux, l'image de la terre ancienne, renfrognée et poilue avec ses aigres genêts et ses herbes en couteau. Il a connu d'un coup, cette lande terrible qu'il était, lui, large ouvert au grand vent enragé, à toutes ces choses qu'on ne peut pas combattre sans l'aide de la vie.
Il est debout devant ses champs. Il a ses grands pantalons de velours brun, à côtes ; il semble vêtu avec un morceau de ses labours. Les bras le long du corps, il ne bouge pas. Il a gagné : c'est fini.
Il est solidement enfoncé dans la terre comme une colonne.

L'extrait suivant correspond à la fin du roman Regain de Jean Giono. En quoi cette fin est-elle une illustration du titre de l'œuvre ?

Texte C : Jean Giono (1895 - 1970), Regain, deuxième partie

1930

[Le village abandonné et son dernier habitant sont presque revenus à l'état sauvage ; mais Panturle, en fondant une famille avec sa compagne qui attend un enfant et en reprenant son activité d'agriculteur, va faire renaître le bonheur et la civilisation paysanne.]

Maintenant Panturle est seul.
Il a dit :
- Fille, soigne-toi bien, va doucement ; j'irai te chercher l'eau, le soir, maintenant. On a bien du contentement ensemble. Ne gâtons pas le fruit.
Puis il a commencé à faire ses grands pas de montagnard.
Il marche.
Il est tout embaumé de sa joie.
Il a des chansons qui sont là, entassées dans sa gorge à presser ses dents. Et il serre les lèvres.
C'est une joie dont il veut mâcher toute l'odeur et saliver longtemps le jus comme un mouton qui mange la saladelle du soir sur les collines. Il va, comme ça, jusqu'au moment où le beau silence s'est épaissi en lui et autour de lui comme un pré.
Il est devant ses champs. Il s'est arrêté devant eux. Il se baisse. Il prend une poignée de cette terre grasse, pleine d'air et qui porte la graine. C'est une terre de beaucoup de bonne volonté.
Il en tâte, entre ses doigts, toute la bonne volonté.
Alors, tout d'un coup, là, debout, il a appris la grande victoire.
Il lui a passé devant les yeux, l'image de la terre ancienne, renfrognée et poilue avec ses aigres genêts et ses herbes en couteau. Il a connu d'un coup, cette lande terrible qu'il était, lui, large ouvert au grand vent enragé, à toutes ces choses qu'on ne peut pas combattre sans l'aide de la vie.
Il est debout devant ses champs. Il a ses grands pantalons de velours brun, à côtes ; il semble vêtu avec un morceau de ses labours. Les bras le long du corps, il ne bouge pas. Il a gagné : c'est fini.
Il est solidement enfoncé dans la terre comme une colonne.

L'extrait proposé au commentaire est la fin du roman Regain de Jean Giono. Il s'agit donc du dénouement de l'histoire, mais également d'une ouverture sur la vie, sur l'avenir. C'est une fin heureuse qui met en scène le triomphe du personnage. On constate une idée de rupture. En effet, dans le passé, l'homme et la nature étaient unis sous le signe de l'hostilité. Désormais, ils sont unis sous le signe du renouveau et de l'espoir. L'homme a subi une transformation.
Comment Jean Giono présente-t-il un dénouement heureux, mettant en scène un homme uni à la nature sous le signe du regain, transformé et heureux ?
Dans une première partie, nous verrons comment cette scène est une introspection du personnage. Dans une seconde partie, nous traiterons de la scène en tant que rupture. Enfin, nous montrerons que la terre est présentée comme une allégorie de la vie, et que l'homme devient un temple symbolique.

I

L'introspection du personnage

A

Une position symbolique

  • Avant la position d'immobilité triomphante du héros, il est présenté comme un homme qui "marche" à "grands pas". Il agit comme un homme qui sait où il va, cela souligne sa détermination.
  • L'homme est présenté debout dans une position victorieuse. Cette idée est très présente dans le texte. Le mot "debout" est mis en avant, il est entouré de deux virgules.
  • Le héros est présenté comme seul avec la nature, face à son triomphe (utilisation de l'adjectif "seul"). Son attitude symbolique est celle d'un homme qui surplombe son royaume, tel un roi triomphant.
  • L'attitude symbolique peut également paraître antique et mythologique et prendre la forme d'un dieu (Pan) ou d'un géant (colosse) s'adressant à sa fille nature.
B

L'union entre l'homme et la nature

  • L'homme et la nature sont unis. Plusieurs expressions suggèrent cette idée comme "la terre et lui".
  • L'homme est comparé à une "lande terrible" : "lande terrible, qu'il était lui". Associé à la nature, il est comme ses champs, un élément naturel sujet aux intempéries. La métaphore filée continue avec l'expression "large ouvert au grand vent".
  • La phrase finale souligne l'apogée de cette union entre l'homme et la nature, avec l'homme qui s'enracine comme un arbre : "solidement enfoncé dans la terre."
C

Une scène de rupture

  • En contemplant la nature le héros réalise sa transformation. Auparavant comme la nature, "ancienne, renfrognée, poilue", "terrible", il est aujourd'hui un autre, différent de celui qu'il a pu être dans le passé.
  • Cette opposition entre passé et présent, entre "ancienne" et aujourd'hui, est également illustrée par l'alternance entre le présent de l'indicatif, qui caractérise un présent vivant et heureux, et le passé composé de l'indicatif, associé au passé morne.
  • La rupture est marquée par l'expression "Alors, tout à coup" qui suggère une prise de conscience du personnage, une "grande victoire".
  • Elle est renforcée par "c'est fini". L'expression est mise en valeur car elle termine une phrase, et qu'elle est séparée du reste de la phrase par un deux-points.

Cette scène d'introspection du personnage est une prise de conscience de la terre comme symbole de vie. La nature est synonyme de renaissance.

II

La terre comme allégorie de la vie

A

Une scène vivante de nature

  • La scène est rendue vivante par l'utilisation du présent du narration : "il est".
  • On note également le recours au dialogue : "- Fille, soigne-toi bien, va doucement ; j'irai te chercher l'eau, le soir, maintenant. On a bien du contentement ensemble. Ne gâtons pas le fruit." Le texte est rythmé, marqué par des ruptures (points, virgule, deux points, retours à la ligne) et une accumulation de phrases courtes, en opposition aux phrases longues du passé.
  • La rupture est marquée par : "Alors, tout d'un coup".
  • La nature, évoquée par le champ lexical "mouton", "fruit", "collines", "pré", "champs", est personnifiée. Elle est "velue". Elle a "beaucoup de volonté".
B

L'importance des sensations

  • La nature offre des sensations. Le bonheur est lié à une extase des sens. L'homme touche, goûte et voit la nature. Il ne fait qu'un avec elle.
  • On note la référence au goût ("mâcher", "saliver", "jus"), à l'odorat ("odeur") mais également à la vue, à travers la description de la nature.
  • D'une manière générale, c'est tout le corps du personnage qui est lié à la nature : "gorge", "dents", "lèvres", "entre ses doigts".
  • Le gigantisme se confirme également, le personnage semble une sorte de Gargantua, un géant.
C

Le thème de la renaissance

  • La nature connaît un renouveau, elle est associée à la renaissance, à l'espoir, et donc à la vie.
  • Plusieurs hyperboles évoquent l'idée d'abondance : "terre grasse", "pleine d'air", "beaucoup de bonne volonté".
  • La nature est porteuse de vie, elle est une mère nourricière : "qui porte la graine".

Cette description d'une nature vivante, symbole d'espoir et de renouveau, est marquée par le lyrisme. C'est l'éclatement de joie du héros, et sa transformation symbolique.

III

Une scène lyrique de résurrection

A

Le lyrisme

  • Le texte exprime la joie du personnage. La description du lyrisme est l'expression des sentiments.
  • La description idéalise et personnifie la nature. Elle devient une mère nourricière.
  • On peut considérer l'extrait comme un éloge de la vie, un triomphe de l'espoir après un passé "terrible".
  • Il s'apparente à un chant de la nature.
B

Le bonheur du héros

  • Le héros exprime sa joie.
  • De nombreuses images soulignent l'idée de bonheur : "chansons [...] entassées dans la gorge" (difficulté à exprimer la joie), "embaumé de sa joie" (sorte d'antithèse, idées de mort et de bonheur associées. On a l'impression d'un être qui renaît au bonheur).
  • L'affirmation de son bonheur est pourtant simple comme le montre l'emploi du verbe "être" : "C'est une joie".
C

Le regain : inspiration religieuse

  • La convocation du dieu Pan, avec l'idée d'ivresse et l'importance des odeurs, renforce l'idée d'une joie contenue au début qui éclate ensuite.
  • Il s'agit d'une symbiose salvatrice de l'homme avec la nature. Le bonheur est trouvé dans le contact avec la nature.
  • L'extrait présente une résurrection. L'homme renaît, comme la nature renaît. Il est "embaumé", comme s'il était mort et qu'il revenait à la vie.
  • L'homme s'enfonce "solidement" dans la terre. Il peut être un arbre, mais il peut aussi être une sorte de temple.
  • Cette fin illustre le titre. Cette scène exprime bien un "regain", celui de la vie, de la nature, et de l'homme.

Le dénouement du livre est donc l'expression du triomphe du héros. L'homme découvre une nature vivante, complètement différente de ce qu'elle a été. Il réalise que la nature s'est transformée, mais que cette transformation le touche aussi. Il y a donc un lien entre l'homme et la nature, une union très forte. L'homme laisse éclater sa joie. Il reconnaît la beauté de la nature. Celle-ci devient une mère nourricière, un symbole de vie et de renouveau. De façon symbolique, l'homme renaît. Le thème de la religion est évoqué. L'homme est transformé, il est nouveau, une sorte de Christ qui devient heureux grâce à "l'aide de la vie". Ce dénouement heureux est une promesse d'espoir, le "regain" du monde après un passé plus sombre.

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