Dans le référentiel terrestre galiléen, une balle est en chute et son énergie mécanique est constante.
Que peut-on dire des forces qui s'exercent sur la balle lors de ce mouvement ?
Puisque l'énergie mécanique de la balle se conserve, on en déduit qu'elle est soumise uniquement à une force conservative qui ne peut être que son propre poids.
En conséquence, les autres forces qui auraient pu s'exercer sur la balle, comme la poussée d'Archimède et les frottements de l'air, sont négligeables.
La balle est donc soumise uniquement à son propre poids, les autres forces sont inexistantes ou négligeables.
Dans le référentiel terrestre galiléen, une balle est en chute et son énergie mécanique diminue.
Que peut-on dire des forces qui s'exercent sur la balle lors de ce mouvement ?
Puisque l'énergie mécanique de la balle diminue, on en déduit qu'elle est au moins soumise à une force non conservative.
Lors de la chute d'une balle, la seule force non conservative qui peut s'appliquer à elle est le frottement de l'air. Elle est par ailleurs soumise à son propre poids.
La balle est donc soumise à son propre poids et aux frottements de l'air.
Dans le référentiel terrestre galiléen, un chariot descend une montagne russe. On effectue un bilan de son énergie mécanique lors du mouvement, elle est constante.
Que peut-on dire des forces qui s'exercent sur le chariot lors de ce mouvement ?
Puisque l'énergie mécanique du chariot est nulle, on en déduit qu'il n'est soumis à aucune force non conservative.
En conséquence, les autres forces qui auraient pu s'exercer sur lui sont nulles et il n'est soumis qu'à son propre poids.
Le chariot n'est donc soumis qu'à son propre poids.
Dans le référentiel terrestre galiléen, un chariot descend une montagne russe. On effectue un bilan de son énergie mécanique lors du mouvement, elle diminue.
Que peut-on dire des forces qui s'exercent sur le chariot lors de ce mouvement ?
Puisque l'énergie mécanique du chariot est décroissante, on en déduit qu'il est soumis à des forces non conservatives.
En descendant le rail, le chariot est soumis à deux forces qui lui résistent :
- les frottements de l'air ;
- les frottements des rails.
De plus le chariot est soumis à son propre poids.
Le chariot est donc soumis à son propre poids, aux frottements de l'air et aux frottements des rails.
On fait osciller un pendule auquel est attaché un poids. On effectue un bilan de son énergie mécanique, elle est constante tout au long du mouvement.
Que peut-on dire des forces qui s'exercent sur le poids lors de ce mouvement ?
Puisque l'énergie mécanique du poids est constante, on en déduit qu'il n'est soumis à aucune force non conservative.
Accroché à un pendule, il est soumis à deux forces conservatives :
- la tension du fil ;
- son propre poids.
Le poids est donc soumis à la tension du fil et à son propre poids.