Soit un palet qui glisse sur une piste de hockey toute neuve, sans subir de frottements.
Son énergie mécanique se conserve-t-elle ?
Pour déterminer si l'énergie mécanique d'un système se conserve ou non, il faut lui appliquer le principe de conservation de l'énergie.
D'après ce principe, un système est isolé si aucun transfert d'énergie n'est possible entre le système et le milieu extérieur.
L'énergie de ce système isolé ne peut être ni détruite ni créée : elle se conserve.
Il peut néanmoins se produire des transferts d'énergie à l'intérieur du système isolé mais l'énergie totale du système restera la même.
L'énergie mécanique demeure donc constante en l'absence de forces non conservatives, extérieures au système, telles que les frottements.
Dans le cas présent, les autres forces, le poids et la réaction du support (la piste) se compensent donc on a conservation de l'énergie mécanique.
L'énergie mécanique du palet se conserve.
Soit un objet qui tombe par mégarde du balcon d'un immeuble.
Son énergie mécanique se conserve-t-elle ?
Pour déterminer si l'énergie mécanique d'un système se conserve ou non, il faut lui appliquer le principe de conservation de l'énergie.
D'après ce principe, un système est isolé si aucun transfert d'énergie n'est possible entre le système et le milieu extérieur.
L'énergie de ce système isolé ne peut être ni détruite ni créée : elle se conserve.
Il peut néanmoins se produire des transferts d'énergie à l'intérieur du système isolé mais l'énergie totale du système restera la même.
L'énergie mécanique demeure donc constante en l'absence de forces non conservatives, extérieures au système, telles que les frottements.
Néanmoins, dans le cas présent, on a aucune information nous permettant de conclure telles que l'existence (ou non) de frottements ou la stabilisation (ou non) de la vitesse.
On ne peut donc conclure quant à la conservation de l'énergie mécanique.
On n'a pas assez d'informations pour conclure quant à la conservation de l'énergie mécanique de l'objet.
Soit un véhicule aérodynamique roulant à grande vitesse.
Son énergie mécanique se conserve-t-elle ?
Pour déterminer si l'énergie mécanique d'un système se conserve ou non, il faut lui appliquer le principe de conservation de l'énergie.
D'après ce principe, un système est isolé si aucun transfert d'énergie n'est possible entre le système et le milieu extérieur.
L'énergie de ce système isolé ne peut être ni détruite ni créée : elle se conserve.
Il peut néanmoins se produire des transferts d'énergie à l'intérieur du système isolé mais l'énergie totale du système restera la même.
L'énergie mécanique demeure donc constante en l'absence de forces non conservatives, extérieures au système, telles que les frottements.
Néanmoins, dans le cas présent, il est difficile de conclure quant à l'existence (ou non) de frottements car le véhicule est, certes, aérodynamique (ce qui tendrait à limiter les frottements) mais la vitesse importante (ce qui tendrait à les accentuer).
On ne peut donc conclure quant à la conservation de l'énergie mécanique.
On n'a pas assez d'informations pour conclure quant à la conservation de l'énergie mécanique du véhicule.
Soit une luge qui glisse sur une patinoire usée en subissant donc des frottements non négligeables.
Son énergie mécanique se conserve-t-elle ?
Pour déterminer si l'énergie mécanique d'un système se conserve ou non, il faut lui appliquer le principe de conservation de l'énergie.
D'après ce principe, un système est isolé si aucun transfert d'énergie n'est possible entre le système et le milieu extérieur.
L'énergie de ce système isolé ne peut être ni détruite ni créée : elle se conserve.
Il peut néanmoins se produire des transferts d'énergie à l'intérieur du système isolé mais l'énergie totale du système restera la même.
L'énergie mécanique demeure donc constante en l'absence de forces non conservatives, extérieures au système, telles que les frottements.
Dans le cas présent, les autres forces, le poids et la réaction du support (la piste) se compensent mais pas les frottements. On n'a donc pas conservation de l'énergie mécanique.
L'énergie mécanique de la luge ne se conserve pas.
Soit une fourmi tombant d'une branche et, de par sa taille, subissant d'importants frottements.
Son énergie mécanique se conserve-t-elle ?
Pour déterminer si l'énergie mécanique d'un système se conserve ou non, il faut lui appliquer le principe de conservation de l'énergie.
D'après ce principe, un système est isolé si aucun transfert d'énergie n'est possible entre le système et le milieu extérieur.
L'énergie de ce système isolé ne peut être ni détruite ni créée : elle se conserve.
Il peut néanmoins se produire des transferts d'énergie à l'intérieur du système isolé mais l'énergie totale du système restera la même.
L'énergie mécanique demeure donc constante en l'absence de forces non conservatives, extérieures au système, telles que les frottements.
Ces derniers n'étant pas négligeables, on n'a donc pas conservation de l'énergie mécanique (il y a aussi, dans le cas de la fourmi, une autre force non négligeable, la poussée d'Archimède de l'air, puisqu'il s'agit d'un fluide).
L'énergie mécanique de la fourmi ne se conserve pas.
Soit une parachutiste effectuant du base jump donc du saut à faible altitude qu'on peut assimiler à une chute libre. La vitesse de chute augmente jusqu'à ce que le parachute soit ouvert (au bout de quelques secondes).
Son énergie mécanique se conserve-t-elle avant que le parachute soit ouvert ?
Pour déterminer si l'énergie mécanique d'un système se conserve ou non, il faut lui appliquer le principe de conservation de l'énergie.
D'après ce principe, un système est isolé si aucun transfert d'énergie n'est possible entre le système et le milieu extérieur.
L'énergie de ce système isolé ne peut être ni détruite ni créée : elle se conserve.
Il peut néanmoins se produire des transferts d'énergie à l'intérieur du système isolé mais l'énergie totale du système restera la même.
L'énergie mécanique demeure donc constante en l'absence de forces non conservatives, extérieures au système, telles que les frottements.
Un solide en chute libre est un solide qui n'est soumis qu'à l'action de son poids.
Ainsi, on peut alors négliger les forces de frottements (tant que sa vitesse de déplacement n'est pas trop élevée).
L'énergie mécanique d'un solide en chute libre est donc constante, elle se conserve.
L'énergie mécanique de la parachutiste de base jump se conserve.
Soit un parachutiste effectuant une longue chute depuis un avion sans ouvrir son parachute.
Sa vitesse augmente progressivement jusqu'à se stabiliser avant ouverture du parachute.
Son énergie mécanique se conserve-t-elle avant que le parachute ne soit ouvert ?
Pour déterminer si l'énergie mécanique d'un système se conserve ou non, il faut lui appliquer le principe de conservation de l'énergie.
D'après ce principe, un système est isolé si aucun transfert d'énergie n'est possible entre le système et le milieu extérieur.
L'énergie de ce système isolé ne peut être ni détruite ni créée : elle se conserve.
Il peut néanmoins se produire des transferts d'énergie à l'intérieur du système isolé mais l'énergie totale du système restera la même.
L'énergie mécanique demeure donc constante en l'absence de forces non conservatives, extérieures au système, telles que les frottements.
Un solide en chute libre est un solide qui n'est soumis qu'à l'action de son poids.
Dans le cas présent, si au début la vitesse augmente (et donc, l'énergie cinétique) à mesure que l'altitude diminue (et donc, l'énergie potentielle), ce n'est plus le cas ensuite :
La vitesse de chute se stabilise car à mesure qu'elle augmente, les frottements ne deviennent plus négligeables et l'énergie cinétique cesse d'augmenter.
Par contre, l'énergie potentielle de pesanteur, elle, continue de diminuer à mesure que le parachutiste se rapproche du sol.
On n'a donc pas conservation de l'énergie mécanique puisqu'elle résulte de la somme de ces deux énergies.
L'énergie mécanique du parachutiste ne se conserve pas.